Tuesday, December 9, 2008




PETER VAN HOESEN LIVE AT NYCKELPIGA 01:


7 comments:

Anonymous said...

cool! will soothe the pain of those who could not attend...

Unknown said...

Bien pressé de le réécouter celui là, parce que the hose ce soir là nous avait fait bien mal !

Anonymous said...

hey antoine!
raconte un peu comment c'etait?
ca vaut le coup de faire 3 heures de train pour la prochaine?

Unknown said...

Un peu que ça vaut le coup... Nous on s'est frait trois heures de train et franchement, nous n'avons pas regretté !

Je copie ici mon Compte rendu publié sur un autre site :

Mon CR commencera peut etre avec de la vulgarité, mais je ne peux que commencer par ça :

Putain c'etait bon.

C'est une fois de plus en train (tradition) que nous gagnons la capitale belge, objet ce soir de tous nos désirs...
Une petite before dans le studio de mon ami-au-label-jouet-pour-les-garçons, Sa tendre et chère moitié nous sert qelque plaques pour nous mettre dans l'ambiance, et nous voilà chauds et en route pour la gare de Bruxelles congrès.

Mais où ça se trouve ?

Mea culpa, nous les francais, ne connaissons de Bruxelles que les endroits où sont organisées les soirées d'habitude... En gros, la route entre la gare et le fuse, le tour&taxis, le bokal...
Nous avons donc découvert tout ce qui avait autour de la gare centrale, cherchant, avec un bon coup dans les etiquettes (dédicace au gaulois), la gare tant convoitée.

Des beats soutenus s'échappent en bas de ces escaliers devant nous. Nous voilà arrivés.

Nous avions eu peur d'arriver à la bourre pour le début de Ben klock, prévu à 1H... Il etait 1H15 mais on dirait qu'il nous avait attendu. Manteau aux vestiaires, Duvel dans la main, et Ben enchaine sa premiere plaque...

Le déluge.

Un vrai orfèvre l'allemand. Une précision à toute épreuve, un set réglé comme une horloge suisse. Il nous met une claque de technique, un leçon de maîtrise tant dans l'enchainement des plaques que dans la construction de son set !

La chaleur gagne vite les clubbers venus en nombre. L'endroit, qui d'habitude semblerait bien plus froid (c'est dans l'entrée d'une ancienne gare que la soirée se déroule) était bientôt gagné par une chaleur indéniable. Celle dont vous vous extirpez avec difficulté quand l'heure est venue d'aller vous désalterer au bar, avec la sensation de perdre en vous éloignant de la piste ces quelques précieuses minutes de bonheur que vous procurent une soirée bien ficelée...

Il nous a fait mal le Ben.

Mal aux jambes tout d'abord. Ca faisait un bon bout de temps que nous n'avions pas dansé comme ça, sautillant de bonheur à chaque nouveau morceau qui passait.

Mal à la tête ensuite car à chaque nouvelle plaque, c'etait une nouvelle claque que l'on se prenait sur la joue.
Mais nous, en bons "Chrétiens" de la musique électronique , nous tendions à chaque fois l'autre joue pour se reprendre une claque plus grosse ce qui nous transformait alors en clubbers masochistes...

Délicieux !

Peter van Hoesen prépare son entrée, Mr Berghain sublime sa sortie. Ca claque, ça rebondi, ça frappe, ça s'emballe et nous avec.

Merci Monsieur Klock, en espérant vous voir un jour dans votre jardin là bas si loin, en terre promise allemande.

Le bruxellois prends les manettes. Rebelote. Ceux qui avaient perdu le sens de l'orientation suite aux multipistes dirigées de main de maitre par le Klock, n'allaient pas retrouver leur chemin de si tôt.
Le belge n'était pas venu là pour rigoler, et le dancefloor ne faisait aucun cadeau aux touristes. Ce n'était pas pour nous déplaire et à voir la tête des autres gens venus là, eux non plus n'étaient pas décidés à partir.

Un live de fou. Je me vois encore à crier comme un demeuré avec mon "partner in crime" devant les platines, ivres de joie d'avoir trouvé le père noël avant l'heure (et aussi de la Duvel à 3€!).

Bien qu'il soit souvent distendu, le temps passe trop vite quand pourtant on apprécie chaque moment d'une soirée. "The Hose" fini son live, un autre reprend aux platines derrière. Nous nous prenons 5 minutes pour fumer une cigarette, encore essoufflés et surpris par toutes ces heures assez intenses.

La musique s'arrête, 5H45...

Mais pourquoi ? Nous comprenons bien vite lorsque nous voyons débarquer quelques policiers dans la soirée... Pourtant nous n'avions vu aucune bagarre, aucun dépassement de limites. Mais force est de constater qu'eux n'étaient pas là pendant le set de Ben klock, parce que sinon ils nous auraient peut-être laissé finir !

Un tour aux vestiaires, ce n'est même pas la cohue habituelle, les gens savent se tenir ici !

Retour en France et after à l'appart', on relance quelques plaques écoutées dans la soirée, fatigués, mais heureux.

Merci de nous avoir organisé une soirée pareille, nous sommes vraiment conquis !

A noter : l'entrée abordable, le lieu original, un line-up de qualité, des vestiaires et des WC gratuits, et les consommations au prix sympathique...

Le seul point noir, c'est que je n'ai pas vu de visuels, y a t il eu un problème ? Ou peut être est-ce moi qui ai passé les yeux fermés toute la soirée à apprécier la musique ?

Apprécier la musique, quand j'y pense, ça me fait dire une dernière fois :

Putain c'etait bon !


PS : Nyckelpiga, ça veut bien dire coccinelle en suédois ?

Anonymous said...

Cést music tres bien!

Unknown said...

We're wainting for the next nyckelpiga !

Anonymous said...

Zijn er al plannen voor een volgende editie?! Kijk echt uit nr een nieuwe Nyckelpiga!